Mettant en valeur l’excellence alsacienne, ce prix vient récompenser la contribution du scientifique à la compréhension des myopathies à agrégats tubulaires. Pour lutter contre cette maladie génétique, Johann Böhm a notamment participé à l’identification de ses bases génétiques, à la compréhension de son développement et à l’élaboration de preuves de concepts thérapeutiques. Ces dernières ont donné lieu à la publication d’un brevet. Précédemment, d’autres scientifiques IGBMC ont été lauréats dans cette catégorie : Agnès Bloch-Zupan, en 2017 et Hélène Puccio, en 2014.
Pour en savoir plus sur les recherches de Johann Böhm, click here.